La flotte des IMOCA est désormais divisée en deux groupes distincts à l’approche du cap de Bonne-Espérance. En tête, le premier groupe, composé des leaders, évolue sous l’influence d’une dépression particulièrement intense.

Ces conditions météorologiques offrent des vents forts et réguliers, propulsant les bateaux à des vitesses impressionnantes. À l’inverse, le second groupe, distancé, subit la fermeture de cette « porte de vent » et se retrouve piégé dans des zones de vents faibles, creusant l’écart avec les leaders. 

Morgan Lagravière, co-skipper de ‪Thomas Ruyant à bord de Vulnerable, partage son analyse après 18 jours de course.