PHOTO 2020 07 15 05 10 46

Maxime Sorel (VandB - Mayenne) et Clarisse Crémer (Banque Populaire X)

Maxime Sorel, V and B - Mayenne, 11ème  

Le skipper de V and B - Mayenne a franchi la ligne d’arrivée des Sables d’Olonne ce mercredi 15 juillet à 03h 03mn 10s (heure française) après 10 jours, 11 heures, 33 minutes et 10 secondes de course. Maxime Sorel a parcouru 3 090,13 milles à 12,28 nœuds de moyenne, soit 11,16 nœuds sur le parcours théorique (2 807 milles). Il termine 11e de la Vendée-Arctique-Les Sables d’Olonne, 06 heures 19 minutes et 02 secondes derrière le vainqueur Jérémie Beyou (Charal).

11. Maxime Sorel, V and B - Mayenne 

10j 11h 33min 10s
3 090.13 nm parcourus
12.28 noeuds de moyenne

 

Clarisse CrÉmer, Banque Populaire X, 12ème 

À bord de Banque Populaire X, la navigatrice a franchi la ligne d’arrivée des Sables d’Olonne ce mercredi 15 juillet à 03h 54mn 24s (heure française) après 10 jours, 12 heures, 24 minutes et 24 secondes de course. Elle a parcouru 3146,49 milles à 12,47 nœuds de moyenne, soit 11,12 nœuds sur le parcours théorique (2807,3 milles). À bord de son plan VPLP Verdier de 2011, Clarisse, dont c’était la première course en solitaire en IMOCA, termine 12e de la Vendée-Arctique- les Sables d’Olonne, 7 heures 10 minutes et 16 secondes derrière le vainqueur Jérémie Beyou.

12. Clarisse Crémer, Banque Populaire X

10j 12h 24min 24s
3 146.49 nm parcourus
12.47 noeuds de moyenne

" Ca s’est super bien passé. Je suis super contente, j’avais pour objectif de naviguer propre, de terminer surtout, c’était au-delà de mes espérances. Chaque jour, j’apprenais plein de choses. Il y a plein de manœuvres que je faisais pour la première fois, j’ai passé du temps sur un même bord à trouver les réglages, c’est tout le temps la découverte.

J’étais surprise de ma capacité à aller vite, je ne savais pas où je me situais, c’est une bonne surprise, c’est hyper gratifiant de naviguer avec plein de concurrent autour. Je suis assez intimidée par la machine, je passe des heures avant chaque manœuvre à réfléchir, ça bouffe une énergie de dingue, je m’épuise moi-même. Mais ça allait mieux de au fil du temps.

Au début, j’ai eu du mal à trouver un rythme, je subissais un peu au début, au bout de trois jours ça allait mieux. Je suis assez fatiguée quand même. Je ne suis pas très efficace en termes de gestion du physique.

Il va falloir que j’apprenne sur le tas, mais plus on navigue plus on s’en sort, mieux on se débrouille pour tous ces trucs psychologiques. J’ai souffert de fatigue par moment, c’est quand même dur ces bateaux-là, physiquement c’est éprouvant. On rentre trempé de sueur après chaque manœuvre. En tout cas, c’était magique de monter là-haut, c’était une belle course, on gardera tous un beau souvenir. "