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Alors que la semaine a débuté par une très bonne nouvelle, avec l’annonce faite par Yves Auvinet, Président de l’organisation du Vendée Globe concernant l’ouverture du nombre de concurrents de 30 à 34 pour la prochaine édition de l’épreuve en 2020-2021. Une annonce qui permet à Giancarlo Pedote de se rapprocher encore plus de la ligne de départ du Vendée Globe.

Le skipper continue lui de préparer au mieux la Transat Jacques Vabre qui se profile. Le skipper du Prysmian Group et son co-skipper Anthony Marchand ont effectué une sortie de 24 heures entre mardi et mercredi. Une navigation en double réalisée dans des conditions de vent fort. « On a eu plus de 50km/h de vent tout le temps ce qui nous a permis de pousser le bateau mais aussi de tester les voiles et la vie à bord », commente le navigateur Italien.

« Il n’est pas prévu que nous ayons un jeu de voiles neuf pour la Transat mais nous continuons d’optimiser celui que nous avons actuellement, même si nous jouons vraiment sur des points de détail. Le but est vraiment d’être le plus au point possible au départ du Havre », souligne Giancarlo qui devrait récupérer les trois voiles en question en début de semaine prochaine, et renquiller une sortie d’entraînement de 24 heures en double dans la foulée, tout en commençant sérieusement à se pencher sur la météo du parcours de la Jacques Vabre.

 

LA FAMILLE ZAPP : 18 ANS PASSÉS À TRAVERSER LE MONDE DANS UN VÉHICULE DE 1928
Herman et Candelaria parcourent le monde avec leurs quatre enfants, visitant des lieux d’une façon dont beaucoup de gens n’osent que rêver.

Le couple a débuté son périple il y a 18 ans, avec 4 000 euros et leur voiture Graham-Page. Ils ont laissé leur vie derrière eux : travail, famille et amis. Avec leurs valises sous le bras, ils ont quitté l’Argentine pour l’Alaska et cela a marqué le commencement d’un voyage à travers les cinq continents et qui touche aujourd’hui à sa fin.

La famille s’est agrandie au fil des années : Pampa, Tehue, Huyaa, Paloma et Wallaby. Ils sont tous nés dans un pays différent et leurs prénoms s’inspirent de la culture de ces lieux. En plus de son rôle de mère, Candelaria est la maîtresse des enfants, et elle leur enseigne la théorie qu’ils peuvent ensuiteexpérimenter en personne.

Sur leur chaîne YouTube, Herman nous explique : «  J’aimerais qu’ils apprennent qu’il ne s’agit pas de savoir de quoi ils vont vivre à l’avenir, mais plutôt pour quoi ils vont vivre, et cela est déjà suffisant pour donner un sens à leur vie  ». Et d’ajouter : « Nous vivrons peu de temps dans ce monde et, pendant cette période, nous ne devons pas accumuler des choses mais plutôt les vivre ».

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